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il y a 4 ans
Attention, cette histoire érotique d’une grande perversité dépasse largement le cadre ABDL.
Née dans une famille des Alpes suisses, Heidi eut jusqu'à son a d o l e s c e n c e des problèmes de fuites urinaires. Pas d'incontinence lourde à proprement parler mais des petites fuites qui mouillaient ses vêtements et la remplissait de honte. Sa mère, protestante rigoureuse, l'encouragea à porter dans ses culottes de coton blanc d'épaisses serviettes hygiéniques qui s'avéraient être un pis-aller acceptable pour éviter de mouiller ses longues jupes bleu marine.
Son idée était que sa fille aurait honte et éviterait ainsi la fréquentation des garçons. Sa tactique réussit au-delà de ses espérances car Heidi était toujours vierge avant de commencer l'université.
Le médecin familial, un incapable arrogant et méprisant, avait un jour déclaré à la famille qu'il valait mieux que leur fille évite le sport, de crainte de fatiguer les muscles du périnée et d'aggraver son énurésie. Cette décision fut regrettable pour la silhouette d'Heidi qui, naturellement d'une forte carrure, s'enroba encore plus suite au manque d'exercice et à sa grande gourmandise qui lui permettait de tromper sa frustration sexuelle grandissante.
En effet, Heidi était malgré elle d'une sensualité débordante et s'adonnait quotidiennement à la masturbation qu'elle avait découverte par accident, un soir dans son lit. Sa main se glissait depuis quotidiennement entre ses fortes cuisses jusqu'à ce que sa chatte clapote de mouille et qu'elle atteigne l'orgasme en silence.
Afin d'éviter les irritations liées à sa légère incontinence, sa mère lui imposa un procédé d'épilation chimique particulièrement éprouvant. A l'issue de ce traitement, son bas-ventre et son sillon anal étaient parfaitement glabre et le resteraient à vie, son clitoris devenant encore plus sensible qu'avant à tel point que le simple frottement de sa culotte lui donna un orgasme une fois les rougeurs dissipées.
A ses dix-huit ans, la Suissesse était une magnifique rousse toute en courbes mais elle n'avait rien d'une beauté de magazine. Sa poitrine plus qu'abondante tenait dans un respectable 115 E, un splendide ventre rond dominait un volumineux mont de Venus qu'on devinait sous ses jupes et pantalons, lesquels moulaient également une large croupe qui tenait dans des culottes de taille 48.
Chapitre 1 : Le commencement
Son départ pour Zurich marqua le début d'une révolution de sa vie personnelle. Logeant chez une lointaine tante, elle se plongeait avec délice dans ses études de médecine, découvrant avec stupeur que ses fuites urinaires n'avaient rien de banal.
Par ailleurs, elle eut tout loisir de se mêler à la gent masculine. Après qu'il lui ait fait la cour avec assiduité, elle se laissa charmer par Alex, un étudiant de cinquième année. Deux jours après leur premier baiser, il lui fit l'amour avec délicatesse, tout à sa surprise de la découvrir vierge à 18 ans. L'orgasme consécutif à son premier cunnilingus lui fit involontairement relâcher un jet de pisse sur le visage de son amant. Etonné, il découvrit plus tard que l'exceptionnelle humidité de l'entrejambe de sa maîtresse n'était pas simplement due à ses secrétions abondantes mais aussi à des fuites urinaires.
Très excité par cette découverte, il baisa à nouveau Heidi qui connut son premier orgasme de femme, bien plus fort que ses branlettes, telle une vague montant du fond de ses entrailles. Alors que le couple se reposait dans le lit, la main d'Alex posée sur la volumineuse croupe d'Heidi, ce dernier l'interrogea tout de go sur ses problèmes d'incontinence. Était-ce son ton décidé ou bien l'envie de s'ouvrir enfin à quelqu'un de ce problème honteux ? Heidi lui raconta tout, les protections hygiéniques de plus en plus épaisses que lui achetait sa mère, l'épilation si douloureuse sur le champ mais qui lui laissa une peau douce et lisse, ses masturbations quotidiennes et la crainte que sa mère la surprenne...
Bien qu'élevée dans un village à la montagne, Heidi n'était pas une fleur blanche et avait compris qu'elle se trouvait à la croisée des chemins. Elle se sentait bien avec Alex chez qui elle voyait une vraie attirance pour ses formes généreuses. D'un caractère facile mais décidé, il lui proposa rapidement d'emménager chez lui.
Toute alanguie de sa récente défloration, Heidi était insatiable et ne laissait aucun répit à Alex qui devait la baiser deux fois le matin et plusieurs fois le soir jusqu'à ce que la nuit fut avancée.
Elle découvrit lors de sa première fellation le goût du sperme, ressentant une excitation sale qui lui remua les tripes lorsqu'elle sentit sur sa langue les petits jets chauds et visqueux de la semence de son amant. Le goût était salé et fort, indescriptible dans sa complexité et sa consistance. En déglutissant, elle sentit les larmes de sperme accrocher ses amygdales, une sensation peu agréable mais elle voyait dans les yeux d'Alex le plaisir qu'il avait à la voir avaler son foutre.
Ce dernier adorait par ailleurs palper ses rondeurs, caresser ses grosses fesses, sentir son ventre rebondi et moelleux sous sa main, soulever ses gros seins dans ses mains tout en se plaquant derrière son large dos, tel un soutien-gorge. Plus encore il aimait son odeur mêlée de mouille et de pisse, s'en abreuvant entre les cuisses épaisses et tâchée de son de la Suissesse.
Il sentait bien quelques regards narquois dans la rue lorsqu'ils se tenaient par la main mais il n'en avait cure. En revanche, Alex entendait bien mettre exploiter l'incontinence d'Heidi, qui était pour lui une immense source d'excitation.
Par chance, la sœur d'Alex occupait une fonction centrale à la pharmacie interne à l'hôpital. Complice en perversité, elle ne fit aucune difficulté pour lui fournir un assortiment de changes complets et les différents médicaments diurétiques et laxatifs qu'il lui demanda. Seule manquaient à l'appel des culottes en latex et un pyjama aux motifs e n f a n t ins, deux accessoires qu'on ne saurait trouver dans un hôpital moderne.
Il trouva deux culottes sur un site Internet de SM allemand et un pyjama blanc à cœurs taille XXL sur un autre site aux Etats-Unis. Le soir même où il avait enfin rassemblé tout le matériel, il présenta à Heidi les larges couches-culottes, plutôt fines. La veille, il lui avait dit qu'il valait mieux qu'elle porte ça la nuit plutôt que ses serviettes hygiéniques mal adaptées. Il lui avoua avec franchise que cela l'exciterait de la voir ainsi habillée. Heidi se laissa facilement convaincre de tester la couche mais Alex sentait qu'il faudrait être plus persuasif pour la culotte en latex et le pyjama.
Il lui servit durant toute la soirée, entre leurs ébats, du champagne puis plusieurs tasses de thé pour s'assurer que sa vessie soit bien pleine. Il avait ajouté à la dernière tasse un puissant diurétique. Très vite, sous l'effet de l'a l c o o l et de la fatigue consécutive aux orgasmes, Heidi s'endormi. Au réveil, sa couche était bien entendu trempée et complètement saturée d'urine qui avait fuit et mouillé le lit, heureusement protégé par une alèze en caoutchouc.
Heidi tenta de sortir discrètement du lit mais Alex était déjà réveillé et fit semblant de découvrir avec elle l'inondation. Rouge de honte, elle se demanda pourquoi elle avait littéralement pissé au lit, chose qui ne lui était plus arrivée depuis son e n f a n c e .
Le soir, Alex feint d'avoir ramené en réponse une culotte en latex et des couches bien plus épaisses. La culotte était légèrement teintée en brun clair, d'une odeur et d'une texture caractéristique. Il proposa à Heidi de s'allonger sur le lit pour l'aider à mettre la couche qu'il attacha avec ses six attaches adhésives. Puis il lui fit soulever ses volumineuses fesses et glissa la culotte en latex dont les jambes et la taille étaient convenablement serrées, à la limite de l'inconfort mais suffisante pour une parfaite étanchéité. Ayant pris soin de faire abondamment boire Heidi durant la soirée, y compris le diurétique, il était certain que la couche serait pleine le lendemain.
En se réveillant, elle sentit tout d'abord les élastiques serrés de la culotte en latex puis son odeur caractéristique qui flottait dans la pièce. Discrètement, en marchant tel un canard vers la salle de bains elle se débarrassa de la couche avant de prendre une douche. Elle ne pouvait nier que le port de la couche était fort agréable par rapport aux serviettes mais elle était intriguée et inquiète de l'augmentation spectaculaire du volume de ses fuites d'urine.
Au bout de trois jours de ce traitement, Heidi se douta de quelque chose de louche. Séchant pour la première fois de sa vie un cours, elle fouilla l'appartement et tomba rapidement sur un coffre rempli de couches, poires à lavement, culottes plastiques à sa taille mais aussi à celle d'Alex. Des articles de bébé mais à taille adulte complétait le tout : biberons et tétines. Pire encore, le cœur battant, elle reconnu la boite de Colopeg, un produit destiné à purger les intestins avant une coloscopie et des sachets d'un produit qu'elle découvrit être un diurétique.
Pas de doute, Alex l'avait utilisé sur elle pour provoquer les inondations des nuits précédentes. Heidi était loin de se sentir furieuse à l'idée d'avoir été a b u s é e car il n'en était rien, elle avait aimé la douce sécurité ouatée apportée par la couche épaisse ainsi que le frottement, le bruit et l'odeur du latex. En revanche, elle eu le cœur battant à l'idée qu'Alex aimait lui aussi les couches puisqu'il en détenait un attirail complet.
Elle se promit toutefois de ne pas en rester là et que la boite de Colopeg serait sa vengeance.
Prétextant une visite à un professeur, Heidi se rendit dans l'unité psychiatrique. Elle réussit à y prélever discrètement du matériel destiné à faciliter l'ingestion d'aliments pour des patients dans l'incapacité de le faire eux-mêmes.
Alors qu'Alex était déjà rentré dans son appart et se réjouissait à l'idée de sa journée de congé le lendemain, Heidi l'entraîna tout de suite dans la chambre, le déshabilla et le chevaucha aussitôt. Tandis que son sexe glissait dans un bruit mouillé au fond de sa chatte humide, elle mit un doigt sur sa bouche, lui sourit d'un air narquois et attacha ses mains aux montants du lit, en profitant de son poids imposant pour immobiliser sans peine son amant. Elle f o r ç a calmement mais avec détermination dans sa bouche la culotte en soie toute trempée de mouille et de pisse qu'elle venait de retirer, cadeau récent de son amant. Pensant à un jeu coquin, il se laissa aussi ligoter les pieds, sans réaliser que les nœuds réalisés de main de maître était fort serrés. Heidi accéléra le rythme, jouit bruyamment et se coucha de tout son poids sur la poitrine d'Alex, ses seins volumineux s'écrasant à peine. Voilà quelque chose de bien inhabituel pensa Alex, lequel était toujours dur dans le ventre d'Heidi sans pouvoir bouger suffisamment pour jouir à son tour.
Heidi se leva, le laissant seul et attaché dans le lit. Elle revient très vite avec une desserte à roulette sur laquelle trônait deux changes épais, des inserts droits, une grosse culotte en latex dont les jambes et la ceinture étaient fait d'élastiques plats très larges, le matériel subtilisé à l'hôpital et quatre bouteilles d'un litre de préparation Colopeg ainsi que son biberon géant
Alex sentit son cœur s'emballer et voulu se justifier mais sa petite culotte roulée en boule dans sa bouche l'empêchait de parler. Heidi souffla à son oreille : " tu crois que je n'ai pas compris ton petit jeu ? Dommage que tu n'ais pas mieux caché ton matériel et le diurétique que tu m'as fait prendre. Secoue la tête si c'est le cas. Bien sûr, je m'en doutais.
Puisque tu sembles toi aussi aimer les couches, je vais faire en sorte qu'elles te soient nécessaires pour la nuit à venir. Tu as compris que ces quatre bouteilles sont du Colopeg, j'y ai trempé les lèvres, on dirait de l'eau de mer, pouah. Mais j'y ai mis ton sirop favori pour que tu ne souffres pas trop. Tu as le choix de boire de toi même, un litre par quart d'heure ou je te le fais boire avec une intubation, au rythme que je décide. Mais avant de commencer les festivités, laisse moi t'équiper correctement."
Heidi se saisit du change complet, le glissa sous les fesses du jeune homme qui avait compris qu'il était dans son intérêt de collaborer. Après avoir enduit son anus de vaseline, elle referma les bandes adhésives sans trop serrer afin de bourrer le change de quatre inserts. Ceci fut malaisé étant donné son érection impressionnante. La culotte en plastique à froufrou - rose pensa-t-elle ! - fut prestement enfilée malgré les entraves et elle du f o r c e r pour y faire tenir la totalité du paquet qui faisait à Alex un entrejambe démesurément large.
Elle approcha de sa bouche la tétine du biberon dans lequel elle avait transvasé le premier litre de la préparation. Bien que le goût fût peu agréable, Alex téta avec avidité, encouragé par les caresses prodigués sur son sexe bien emmailloté. Puis au milieu du deuxième biberon, il se lassa et montra des signes de réticence. Heidi n'eu qu'à montrer le kit d'intubation pour qu'il retrouve un rythme de succion normal. Vers la fin du troisième biberon, elle entendit de forts gargouillements dans le ventre d'Alex. C'était le signe sûr que le Colopeg faisait son effet. Bientôt il allait se vider par tous ses orifices.
Alex sentait monter dans son ventre un sentiment d'inconfort croissant et il transpirait abondamment. Heidi avait décidément de la ressource mais il n'était pas malheureux au fond de sa présente situation. Il savait tout des effets du Colopeg qu'il avait prescrit plusieurs fois, tout sauf ce que ressentaient véritablement ses patients. Alors qu'il attaquait la dernière bouteille, la pression dans sa vessie devenait intolérable et il se laissa aller dans sa couche dont l'insert absorba sans problème sa première miction. Quelques minutes plus tard, il sentit comme un faible courant électrique dans le bas du dos tandis qu'il se laissa aller et remplit sa couche d'une purée douteuse, dont l'odeur était heureusement retenue par la culotte étanche.
Heidi retira la culotte de sa bouche et y glissa son sein droit qu'il se mit à lécher avec avidité, suçotant bruyamment son téton.
Le Colopeg poursuivait son travail de purge intégrale et bien vite il ne sut dire qui de son sexe ou de son anus remplissait la couche dont la masse augmentait dangereusement. Pendant deux heures, des vagues parcouraient son corps du sternum vers son bas-ventre et il ne pouvait leur résister, sentant le liquide ruisseler entre ses cuisses et ses fesses baigner dans une mixture de plus en plus liquide au fur et à mesure que le Colopeg nettoyait ses intestins. La couche, heureusement complétée d'inserts, faisait son travail et évitait les fuites tout en gonflant de façon extraordinaire.
Epuisé par les crampes tant que par sa dernière garde au CHU, Alex trouva finalement le sommeil et se réveilla sans entraves aux côtés d'Heidi dont le corps mou et chaud semblait le protéger dans une posture très maternelle.
Il prit le meilleur parti, celui qui était de voir dans cette épreuve la confirmation qu'ils s'étaient bien trouvés, un obsédé des couches et une incontinente pas si ingénue que ça. Alors qu'il se rendait à la salle de bains, il sentit la masse incroyable du paquet qui pendait sous ses fesses, gorgé de liquide après la cataracte médicalisée de la veille. La vaseline dont Heidi lui avait généreusement enduit le fondement lui avait évité toute irritation et il se sentit très léger après une bonne douche.
Leur relation se poursuivi pendant plusieurs années, chacun progressant tant dans ses études de médecine que dans les degrés de perversité de leurs relations sexuelles, particulièrement épicées.
Heidi jouait souvent le rôle de nourrice tandis qu'Alex affectionnait celui de gynécologue pervers, sans que l'un prenne le dessus sur l'autre car ils appréciaient tous deux indifféremment d'être la victime ou le dominateur. Ils dormaient le plus souvent nus et en couche, enveloppés d'une culotte plastifiée ou en latex, à l'exception de l'hiver où Heidi affectionnait son pyjama à petits cœurs.
Etrangement, ses fuites urinaires eurent tendance à cesser quasi-totalement, certainement l'effet d'avoir musclé son périnée lors de leurs ébats. En revanche, elle adorait remplir volontairement ses couches le soir au lit et sentir le matin se répandre une douce chaleur alors qu'elle se laissait aller dans son change complet, souvent encore humide des mictions de la veille. Le sentiment de protection apporté par les couches et complété par la culotte en plastique et le pyjama était idyllique.
Alex fit l'acquisition d'un fort coûteux nécessaire à lavement doté d'une double-poire qu'il agita devant ses yeux le soir même de sa livraison. "Sais-tu de quoi il s'agit ? Je vais insérer dans ton anus la canule jusqu'à ce que le premier ballon soit entièrement à l'intérieur. Je vais utiliser un décontractant léger pour lubrifier son sphincter, la canule va entrer en toi comme dans du beurre tiède."
Joignant le geste à la parole, il glissa sans effort la canule dans l'ampoule rectale de son amante : "cela devient fun maintenant, avec ces deux poires, je vais gonfler les deux ballons. Le plus grand est dans ton cul, je vais le faire grandir jusqu'à ce qu'il te remplisse complètement, voiiiilà, ta grimace me confirme qu'on y est. Le second à l'extérieur est plus petit mais pas mois utile. Il est là pour être certain que tu ne puisses recracher ton lavement ni expulser la canule. Tu peux pousser autant que tu veux, la gravité va remplir tes tripes de ce mélange explosif
Cet accessoire diabolique permettait de remplir au delà de son consentement les intestins de sa partenaire de divers liquides préalablement chauffés : eau additionnée de glycérine liquide, lait tiède additionné de sucre liquide et même deux litres de blanc d'œuf ! Selon le liquide, les crampes étaient une véritable t o r t u r e . Le premier ballon, le plus gros, remplissait en totalité l'ampoule rectale et rendait impossible toute tentative de contrer l'arrivée du liquide. La délivrance dans la couche lors du dégonflage des ballons était tout simplement divine.
Un soir où Alex se plaignait d'avoir un peu froid, elle l'équipa d'une couche et de sa culotte en plastique préférée avant de lui demander d'enfiler son propre pyjama - quoique bien trop large - et de prendre le chemin de la cuisine. Heidi y fit tiédir une grande boite de conserve de 3 litres de crème dessert à la vanille. Revenant dans la chambre et vers le lit qu'elle avait recouvert d'alèses pour limiter les dégâts, elle écarta le devant de la couche pour y verser le doux et chaud liquide visqueux qui coulait sur la queue dressée d'Alex avant de s'infiltrer dans son entrejambe et son sillon anal, recouvrant toutes ses fesses jusqu'au bas du dos. Puis, se serrant contre lui et lui offrant ses gros seins à lécher, elle entreprit une douce masturbation, se servant de la crème comme d'un abondant lubrifiant. Au moment de jouir, elle recueillit son sperme dans le creux de sa main poissée de crème et lécha lascivement le tout. Alex apprécia le spectacle jusqu'au moment où Heidi approcha ses lèvres de sa bouche et lui restitua le gourmand mélange dans un long french kiss. Au final, le mélange de la crème dessert suave et de son sperme salé n'était pas désagréable, sinon surprenant.
Deux semaines après leur cinquième anniversaire, Heidi se retrouva accusée à tort de négligence grave ayant entraînée la m o r t d'un patient. C'était faux mais le dossier avait été préparé à charge par la coupable sa chef de service, une femme quasi-anorexique prénommée Hélène et qui était aussi la maîtresse du doyen sur lequel elle avait totale prise. Avec sa collègue Séverine, elles passaient leurs pauses à moquer de son physique charpenté et de ses rondeurs qu'elles assimilaient à l'obésité.
Elles détestaient cordialement Heidi qui était à leurs yeux une campagnarde qui n'avait pas sa place à la faculté de médecine. Son surpoids, qu'Heidi ne vivait nullement comme une tare, les horrifiaient et Hélène en particulier ne manquait pas une occasion de multiplier les vexations, comme par exemple dissimuler toutes les blouses XL avant une opération pour qu'elle soit engoncée dans un vêtement inconfortable qui lui comprimait les seins et accentuait le volume de sa croupe de jument. Par ailleurs, Heidi était brillante dans ses études et contrastait avec la médiocrité de Séverine.
Au terme de la commission de discipline, Heidi fut renvoyée de la faculté avec interdiction d'exercer une quelconque profession médicale. Toujours par peur du scandale et bien qu'il s'en révolta, Alex avait reçu comme instruction claire du doyen de faire en sorte que sa relation amoureuse avec Heidi cesse rapidement, en échange de la garantie d'accéder à l'internat de chirurgie dont il rêvait.
Dévastée par l'injustice, Heidi réalisa que son rêve s'était brisé à tout jamais. Alex lui avait annoncé leur rupture imposée les larmes aux yeux et lui avoua le chantage dont il faisait l'objet. Il lui restait de quoi subsister à Zurich pendant maximum trois mois, après quoi elle était bonne pour revenir chez ses parents.
Une de ses rares amies lui proposa tant pour meubler l'ennui de ses journées que pour gagner un peu d'argent de la remplacer comme baby-sitter dans une richissime famille. Heidi accepta de bon cœur car elle s'entendait bien avec les jeunes e n f a n t s.
Une fois reçue au manoir par la gouvernante, elle fut mise au courant des usages de la maison. Après deux soirées, les deux e n f a n t s adoptèrent rapidement Heidi. Trois semaines après le début de son embauche et alors qu'une réception battait son plein, un des invités s'écroula de tout son long. Son épouse hurla qu'il fallait un docteur mais ces derniers faisaient cruellement défaut au milieu de ce parterre de banquiers et de financiers internationaux.
Heidi, après avoir confié les e n f a n t s à la gouvernante, se dirigea vers l'homme inconscient, sous les yeux médusés de l'assistance. Elle reconnu immédiatement les signes d'une allergie grave se manifestant par un œdème de la gorge. L'homme allait mourir étouffé si elle n'agissait pas de suite. L'autorité et la précision de ses gestes fit reculer les convives d'un pas pour lui laisser le champ libre. Tandis qu'on lui apportait une trousse de premiers soins, elle réalisa une trachéotomie de fortune qui permit de rétablir la respiration. L'homme reprit connaissance deux minutes plus tard alors qu'une équipe médicale arrivait sur place, étonnée de voir que quelqu'un avait déjà réalisé la seule opération capable de le sauver.
Alors que l'ambulance filait vers l'hôpital, l'épouse éclata en s a n g lots sur l'épaule d'Heidi, cette dernière étant fort embarrassée de tant d'attention, d'autant plus que l'assemblée n'avait d'yeux que pour elle.
Profitant du moment, un des invités, un conseiller particulier d'un émir d'Arabie Saoudite présent en Suisse pour affaires, prit discrètement une photo en pied de la jeune rousse avec son téléphone. Plus tard, alors que le maître de maison eu la confirmation que son invité était définitivement tiré d'affaire, il discuta en aparté avec Heidi pour la remercier et lui verser une prime en liquide équivalente à six mois de salaire. Sa femme et lui-même souhaitait également, si elle était d'accord, l'embaucher à leur service à temps plein. Ils se mirent sur le champ d'accord sur les conditions et une poignée de main scella le nouveau contrat de travail d'Heidi.
Deux mois après avoir débuté son nouveau métier, son employeur lui indiqua qu'une de ses connaissances présentes lors de la soirée où elle s'était illustrée avait souhaité pouvoir la rencontrer dès que possible. Il ignorait l'objet de sa visite mais il représentait les intérêts du chef d'une famille saoudienne richissime et avait certainement de bonnes raisons de vouloir parler avec Heidi.
Une entrevue fut arrangée avec celui qui se présenta comme le secrétaire particulier d'un émir saoudien. Il expliqua à Heidi que son employeur avait recueilli ses neveux âgés respectivement de dix-huit ans et trois mois suite au décès accidentel de leurs parents. Il cherchait une préceptrice qui pourrait également être la nourrice du plus jeune e n f a n t , avec un certain degré d'urgence. Le travail serait très largement rétribué et nécessitait une personne de confiance, devant se relocaliser dans le Golfe et habiter le palais pour nécessité de service. Le secrétaire laissa à Heidi une pochette contenant toutes les informations qu'elle pouvait souhaiter, l'offre expirait le lendemain à midi.
La surprise d'Heidi était totale. Elle prit congé et se retira dans sa chambre pour ouvrir la pochette. Elle comprenait diverses photos des deux e n f a n t s, d'autres d'un luxueux appartement qui serait son logement et enfin, un contrat de travail mentionnant un salaire plus que généreux étant donné qu'elle serait logée et blanchie durant son séjour. Comparée au futur plutôt sombre qui l'attendait en Suisse, cette offre était inespérée et Heidi s'empressa de l'accepter. Elle avait toutefois noté certaines clauses surprenantes, comme l'obligation de se soumettre à une visite médicale poussée préalable à l'embauche.
Chapitre 2 : Un long voyage
Un mois plus tard, elle prit congé de son employeur et des e n f a n t s qui pleuraient à chaudes larmes pour monter dans un avion en direction de Riad. Une voiture avec chauffeur la conduisit dans le palais qui serait son nouveau domicile. Il était immense et la visite des lieux lui donna le tournis. C'était un mélange de palais des mille et une nuits mâtiné de design dans les ailes qui étaient par ailleurs meublées avec beaucoup de goût. Les locaux à vocation plus techniques étaient équipés de ce qui se faisait de mieux sur la planète.
Le personnel était pléthorique quoique fort discret. Heidi se fit la remarque que la quasi-totalité des femmes, le plus souvent d'une couleur de peau cuivrée, était plutôt grassouillettes. Elle croisa des regards complices et bienveillants de leur part, lui inspirant totale confiance. Sa guide la pria d'entrer dans ce qui était un fort luxueux cabinet médical.
En raison de l'éloignement relatif du palais, il était équipé d'un un bloc opératoire polyvalent pouvait traiter n'importe quelle urgence, en plus du cabinet médical copieusement équipé, siège de gynécologie et équipements dentaires compris.
Absorbé dans la contemplation de ces derniers, elle n'entendit pas arriver une femme brune aux yeux noirs et aux cheveux mi-court habillée d'un élégant tailleur Dior sur mesure.
"Bonjour, je suis Mihaela, médecin particulier de l'émir. Afin de confirmer ton embauche, je dois te soumettre à différents tests médicaux comme on te l'a expliqué. Ton employeur est un phobique des maladies et comme tu vas t'occuper de ses neveux, il souhaite que rien ne soit laissé au hasard. Je dois te prévenir que mes investigations dépassent le cadre de celles autorisées en Suisse et que tu peux les décliner, ce qui aura cependant pour effet automatique de mettre fin à ton contrat.
Heidi acquiesça, elle n'avait pas vraiment peur compte tenu de sa formation de médecin.
Mihaela préleva plusieurs ampoules de s a n g pour analyses puis invita Heidi à se déshabiller totalement pour une palpation complète. Les larges fesses blanches et rondes de la rousse surplombaient ses cuisses jointes en leur milieu. La Suissesse était souple malgré son physique de modèle rubenesque.
Les deux femmes évoquèrent en professionnelles de la médecine la teneur des tests s a n g uins pendant que Mihaela l'invita à monter sur la balance. Hésitant légèrement, Heidi se mis nue sur la balance. "Hum, 110 kg pour 1m73, ton surpoids est important mais ne t'inquiète pas, comme tu as pu le remarquer, ici, les rondeurs sont fort appréciées voire même encouragées selon les goûts de l'émir.
Prends place sur ce fauteuil gynécologique et mets tes jambes dans les étriers, je dois t'examiner intégralement. Pendant ce temps, je voudrais simplement confirmer certains points de tes orientations sexuelles. Je sais que tu es hétéro, plutôt portée sur les choses du sexe et que tu aimes fantasmer autour de l'univers des couches, bien que tu ne sembles plus souffrir de fuites depuis ton entrée à l'université. Tu ne rechignes pas à avaler le sperme de tes amants et tu apprécie la sodomie mais plus encore les lavements. Concernant ce dernier point, je vais devoir t'en prodiguer un dans peu de temps pour réaliser une coloscopie et tu seras sûrement la première en ces lieux à prendre plaisir à ce traitement...
Heidi fut estomaquée par ces paroles et rougit silencieusement. Comment pouvait-elle savoir tout ça ? Mihaela dissipa son trouble en lui disant d'une voix égale qu'une enquête complète avait été menée sur elle dès le lendemain de la soirée, "c'est uniquement lorsque nous avons été certain de ta probité que le rendez-vous avec le secrétaire fut arrangé. Maintenant, je réponds de la validation ultime qu'est la visite médicale.
Si nous demandons beaucoup à nos employés, nous donnons beaucoup en retour. Tu verras vite qu'il y a ici peu d'endroits où dépenser son argent. L'émir est un homme très moderne, au fait des mœurs occidentales et qui respecte les femmes bien plus que la plupart de ses pairs. Je te guiderai s'agissant des lignes rouges à ne pas franchir une fois sur place, elles sont peu nombreuses mais nécessitent un respect de tous les moments.
Ton ex avait dit vrai, ta chatte et ton sillon anal sont remarquablement vierges de tout poil. Je connais le traitement qui t'a été infligé, douloureux, totalement irréversible mais ô combien efficace. Heureusement pour toi car la mode locale est à l'épilation intégrale et tu n'aurais pas échappé à la cire chaude toutes les semaines !
Poursuivant ses examens internes, elle examina dans tous ces détails le sexe de la rousse, terminant par l'insertion d'une curieuse sonde lubrifiée dans son urètre, l'enfonçant jusqu'à ce que coule une urine claire dont le flot fut prestement stoppé d'un quart de tour de robinet. Après avoir gonflé avec une solution saline un ballonnet interne qui assura que la sonde ne glisserait pas, Mihaela brancha un petit câble à un équipement électronique. "Tu n'as jamais vu ce genre de chose je pense, c'est un outil de mesure de la puissance des sphincters. Je l'utilise pour mesurer le degré d'incontinence urinaire et pour savoir si une éventuelle rééducation est possible ou non."
La femme médecin remplit un bac à lavement d'un litre et demi d'eau chaude additionnée de cent millilitres de glycérine liquide. Elle devait vider la cavité anale de la jeune fille mais entendait aussi s'amuser de son inconfort passager. "Vu tes fantasmes, tu veux peut-être que je te mette une couche pour te vider confortablement allongée sur le siège plutôt que de te faire des hémorroïdes à pousser aux cabinets ? La rousse lui signifia son choix en baissant la tête. Bien vite, elle fut habillée d'une large et épaisse couche qui recouvrait parfaitement sa large croupe, le tout fut prestement recouvert d'une chaste culotte en plastique transparent.
L'eau glycérinée envahit rapidement ses tripes et les crampes se firent très vite sentir. La sonde urinaire ne perdait rien des contractions de l'urètre tandis que la pression augmentait dans son ventre. Une fois la sonde urinaire ouverte et la canule en plastique retirée de ses fesses, ce fut immédiatement la cataracte dans la couche, les jets fusaient de tout ses orifices tandis que la Suissesse savoura le délicieux sentiment de délivrance.
Une toilette soignée suivit l'évacuation de la couche souillée, Heidi était à nouveau propre comme un sou neuf. Avant de terminer, Mihaela lui fit la précision suivante : "Le bloc est mon domaine exclusif mais tu peux utiliser le cabinet médical à ta guise. J'ai commandé et fait mettre dans une armoire de ta chambre de quoi satisfaire tes fantasmes. Tu verras qu'on peut vite s'ennuyer en soirée ici, considère cela comme un "welcome pack".
De retour dans son appartement, Heidi s'empressa de parcourir les placards de sa chambre, découvrant bien vite le cœur battant des piles de couches d'une épaisseur hallucinante. Des culottes en plastique et latex complétaient la collection. Des tubes de lubrifiants de toute nature, methylcellulose, silicone, vaseline...trônaient dans une boite jouxtant des godes et butt-plugs de diverses tailles. La vue de ces accessoires l'excita considérablement et bien vite elle se jeta nue sur le lit, un gode au fond de la chatte tout faisant rentrer dans son cul un petit butt-plug. Elle appréciait le sentiment d'être pleine à l'intérieur qu'il lui procurait conjugué au gode. En retirant ce dernier dans la salle de bains, quelques gouttes coulèrent le long de ses jambes, reliquat peu ragoûtant de son lavement. Elle enfila immédiatement une couche pour éviter de souiller les beaux tapis. Sa garniture était tissée et d'une douceur extraordinaire. Les fixations tenaient impeccablement en place et bien vite lui vint l'envie de faire pipi. Elle se laissa très naturellement aller dans le change complet qui gonfla sous l'effet de la miction abondante. Epuisée tant par le décalage horaire que par le lavement, elle s'endormi dans les draps de soie, vêtue de sa simple couche.
Trois jours plus tard, Mihaela confirma avec un grand sourire que la visité de pré-embauche était validée. Elle la reçue dans le cabinet et lu le résultat de ses tests. " Vierge de toute MST, tu n'es pas enceinte et mieux encore, n'a jamais touché à une quelconque D r o g u e . Parfait. Par ailleurs, Les tests endocriniens confirment tes dispositions naturelles à afficher de belles rondeurs plutôt qu'un profil d'anorexique, tu n'aurais jamais pu être maigre."
Lors d'un court entretien avec l'émir, elle l'assura de son dévouement et de sa hâte de s'occuper des e n f a n t s. Elle nota toutefois le regard brillant de convoitise sur son opulente poitrine. Le premier contact avec les deux e n f a n t s fut pénible. L'ainé, une sorte d'a d o attardé, était fuyant et hautain. Le nourrisson était toutefois sa priorité.
Peut-être traumatisé par le décès de sa mère, le tout jeune prince refusa comme avec les autres les biberons de lait maternisé de haute qualité préparés par Heidi.
Toute à sa déception, elle parla à Mihaela qui lui proposa une inédite méthode de la dernière chance, provoquer une montée de lait chez la Suissesse. Encore jeune, elle devait être réceptive à un cocktail hormonal concocté par la Roumaine durant les années 80. Son objectif alors était alors d'augmenter le volume de la poitrine des courtisanes du régime mais elle se résolut bien vite à utiliser à la place des implants en silicone importés en fraude depuis l'Allemagne de l'Ouest. En effet, un des effets secondaires était surtout que les glandes galactophores triplaient de volume et produisaient un lait maternel abondant, faisant gagner un à deux bonnets de soutien-gorge au passage mais au prix de fuites lactées peu avenantes au goût de la nomenklatura roumaine.
"Je te préviens Heidi, tu vas devoir mettre d'autres soutien-gorge et prévoir de changer tes hauts car ta poitrine va enfler et tu ne pourras pas la faire tenir dans tes habits actuels. Tu vas également prendre encore plus de poids sous l'effet des hormones. Par ailleurs, je n'ai jamais essayé ce produit sur une femme avec des seins aussi gros que les tiens, il faut te faire à l'idée qu'une fois l'injection faite et même si le prince tête abondamment, il faudra te "traire" régulièrement avec un tire-lait sous peine d'engorgement très douloureux." Heidi rougit jusqu'aux oreilles, elle qui avait l'habitude depuis sa puberté de se faire traiter de vache laitière en raison de ses volumineuses mamelles, épithète d'autant plus douloureux pour l'a d o l e s c e n t e qu'elle aidait volontiers ses parents avec la traite des vaches de la ferme familiale.
Le résultat fut au-delà de ses espérances, ses seins se mirent à devenir chauds au toucher puis 48h après sa dernière injection, elle vit à sa grande surprise un long jet blanchâtre sortir du téton lorsqu'elle le pinça.
Elle plaça le jour même la bouche vorace du prince sur son sein et immédiatement, il se met à téter goulûment puis s'endormit. Les sensations de succion étaient très agréables pour Heidi qui sentit à sa grande surprise sa culotte en coton blanc se mouiller abondamment. Mihaela l'avait mise en garde sur les effets secondaires au niveau de sa vulve et de ses glandes de Bartholin qui allaient respectivement enfler légèrement et couler avec abondance lors de toute excitation.
L'émir fut mis au courant du succès de la Suissesse qu'il félicita personnellement, une faveur rare pour son personnel.
Le souci le plus urgent de l'émir était désormais résolu mais on lui avait rapporté que son neveu le plus âgé avait un comportement déplacé vis-à-vis du personnel de maison féminin. Bien que celui-ci soit majeur depuis peu, ses défunts parents n'avaient jamais abordé de près ou de loin ce qui concernait la sexualité en vrais bigots qu'ils étaient. L'émir était plus progressiste et pensait qu'il était de bon ton dans ce cas d'organiser le dépucelage avec une personne choisie.
L'émir pria Heidi de le rencontrer séance tenante et se fit confirmer l'attitude de son neveu. A regret, elle ne put que constater qu'elle était elle aussi impuissante à le faire changer d'attitude. Elle évoqua assez librement l'absence de jeunes femmes dans son entourage et la nécessaire frustration qui en découlait chez le jeune homme.
Heidi avait bien vu, lors de leurs leçons quotidiennes, les regards appuyés du jeune homme sur sa poitrine et son ventre, encore plus depuis que ses seins avaient pris deux tailles de bonnet, lui imposant une impressionnante taille de soutien-gorge de 120G. Ses seins étaient chauds au toucher depuis le traitement hormonal et si lourds qu'elle en avait légèrement mal au dos de ce fait. Comme Mihaela le lui avait prédit, elle était obligée de se vider de son lait deux fois par jour, tirant lors de chaque session jusqu'à 300 ml de chaque sein, en plus naturellement des tétées du nourrisson.
Heidi confronta un jour son regard, plus amusée qu'en colère. Elle vit dans ses yeux un éclair de peur, il n'était visiblement pas habitué aux femmes de caractère, à l'exception de Mihaela dont il se méfiait comme de la peste. D'un physique plutôt avantageux, sa jeunesse était toutefois trahie par son regard fuyant et ses poses juvéniles.
L'émir, avec des mots choisis, lui laissa entendre qu'une solution serait qu'elle prenne en main l'éducation sexuelle de son neveu et commence celle-ci en le déniaisant. Heidi accepta tout de go, à la condition qu'elle puisse avoir carte blanche sur la méthode et le moment adéquat. Le marché fut signé d'un hochement de tête de l'émir, ce dernier négociant en échange que leurs premiers ébats soient filmés à son bénéfice.
Heidi orienta la leçon du jour, profitant de l'ignorance du jeune homme pour les choses du sexe. Elle entendait bien l'aiguiller vers une sexualité moins machiste que celle qui avait court en cette région.
Durant le cours de biologie, décrivant en termes scientifiques une planche anatomique du sexe féminin, elle ne pouvait manquer l'impressionnante érection qui se dessinait sous sa djellaba.
"Et bien, tu es dans un drôle d'état on dirait ? Que t'arrive-t-il ? C'est de voir un sexe de femme en image ? C'est la première fois ?"
Le prince était rouge écarlate et avait le visage tout congestionné. Heidi prétexta de lui pointer du doigt un détail de la planche pour qu'un de ses seins généreux touche le flanc du jeune homme, ce qui suffit à provoquer une éjaculation qui souilla son slip et son vêtement, les pulsations de sa verge assortie d'une tâche humide en rapide expansion au niveau de son entrejambe étaient immanquables. Heidi buvait sa honte.
La rousse poursuivit comme si de rien était la leçon qui, une fois terminée, vit son élève filer sans demander son reste. Le lendemain après-midi, elle lui soumit une interrogation écrite d'anatomie qui fut une catastrophe. Compte tenu des évènements de la veille, il se souvenait plus de son orgasme que de l'emplacement du vestibule.
Prenant un air sévère, Heidi se leva et pris le jeune homme par la main pour l'entraîner dans le cabinet médical tandis qu'elle lui dit "Puisque tu n'as rien retenu de la leçon d'hier, j'ai le sentiment que le matériel pédagogique était clairement défaillant. Nous allons passer aux travaux pratiques et je te préviens que tu as intérêt à rester concentré. Commence par aller te laver les mains"
La Suissesse se dirigea vers le fauteuil gynécologique. Elle assit le prince sur le tabouret à roulette et entreprit délicatement d'ouvrir sa jupe qu'elle retira avec nonchalance. Des bas noirs gainaient ses larges cuisses tandis qu'une sage culotte de la même couleur protégeait son intimité. Le rouge remonta vite aux joues de l'a d o l e s c e n t en voyant le spectacle qui s'offrait à lui.
Se penchant vers son visage tout en gardant un air faussement sévère, elle fit rouler ses bas puis sa culotte sur ses chevilles tandis que le prince se régalait sans honte de la vue plongeante de son impressionnant décolleté. Ne laissant rien paraître, Heidi, s'installa sur le fauteuil gynécologique en écartant largement les jambes. Une odeur caractéristique et lourde de femme excitée flottait à proximité, aggravée par ses abondantes secrétions causées par les hormones de lactation.
Le prince était fasciné par la vue du corps épanoui de sa préceptrice qui s'offrait à ses yeux. Les fortes cuisses diaphanes et tâchées de son par endroit remontaient vers son sexe absolument lisse et d'un rose appétissant. La peau de l'entrejambe semblait un peu moins lisse, conséquence de leur frottement permanent à chaque pas. On devinait l'anneau anal dans les replis de la naissance de fesses mais ce qui était le plus marquant restait ces petites lèvres humides de mouille, rempart dérisoire de son vagin palpitant de manque. Car Si Heidi savourait le trouble du jeune homme, elle ne pouvait nier son intense excitation que traduisait son sexe détrempé.
Reprenant le prétexte de la leçon, elle fit signe au prince de se rapprocher et désigna elle-même d'un doigt le détail de sa propre anatomie qu'elle énuméra au bénéfice du prince qui était comme pétrifié : vestibule, grandes et petites lèvres, clitoris... Quittant le cadre strict de l'anatomie, elle se mit à commenter de façon plus familière.
Je vais te montrer comment fonctionne la vessie d'une femme, tends-moi le récipient en métal sur ma droite, voilà, parfait. Se concentrant quelque secondes, elle poussa et sentit un jet puissant sortir de son urètre, heureusement pour être recueilli par un pot métallique dans lequel l'urine coulait à grand bruit et répandait une odeur de pomme verte qui se conjuguait à celle de la mouille pour créer une fragrance enivrante. Une fois vide, elle s'essuya sans façon d'une lingette tandis que le prince ne pouvait quitter des yeux ce spectacle inespéré. S'il ne s'était pas branlé quatre fois la nuit précédente au souvenir du contact avec la poitrine majestueuse de Heidi, il aurait depuis longtemps explosé dans ses sous-vêtements.
Maintenant que tu sais comment se compose l'appareil reproductif féminin, il faut que tu puisses en éprouver les multiples facettes. Mon entrejambe ne sert pas qu'à faire des e n f a n t s ou à pisser mais aussi à éprouver du plaisir, comme toi lorsque tu caresses ton sexe. Car tu le fais souvent, je le sais. Le prince avala bruyamment sa salive, ce qui était une évidente confirmation des propos d'Heidi.
Je vais te montrer comment faire et ensuite tu devras prendre mon relais. Tout d'abord, il faut que tout soit abondamment mouillé. Les femmes produisent naturellement des secrétions vaginales, pas toujours suffisantes dans quel cas on utilise des lubrifiants artificiels. Nous n'en aurons pas besoin aujourd'hui car je suis une grosse mouilleuse, surtout depuis ces dernières semaines à cause du traitement que j'ai pris pour nourrir ton frère.
Regarde, je mets mon doigt dans le vagin, il est déjà trempé. Je le ressort et chatouille indirectement mon clitoris. Il est très sensible depuis que j'ai été épilée, il faut faire attention à être très doux. Voilà, comme cela, par petits cercles. Pendant ce temps, tu vas toucher ma fente et étaler la mouille. Tendant son doigt tremblant, il approcha des chairs ouvertes, molles, chaudes et trempées. Le contact était divin. Aidé par Heidi qui continuait sa masturbation clitoridienne, il glissa son index dans le vagin de la rousse qui poussa un soupir lascif.
Commençant instinctivement un léger mouvement de va et vient, il ne pouvait croire en sa bonne fortune. La femme de ses fantasmes, pour laquelle il avait souillé des dizaines de mouchoirs, était à moitié nue devant lui pour lui apporter la démonstration éclatante que l'onanisme n'est en rien un privilège exclusivement masculin.
Maintenant, tu vas sortir ton doigt de ma chatte et venir encore plus près. Approche, tu vas goûter ma mouille à sa source. Attention, je ne veux sentir que ta langue !
Le contact de la langue avec sa fente était délicieux et provoqua un épanchement de mouille qui détrempa le menton du jeune prince. Ce dernier s'appliqua à la tâche en essayant de suivre les consignes que la Suissesse énonçait d'une voix posée : "moins fort, frôle seulement mon bouton, ne l'aspire pas. Voilà, enfonce ta langue dans mon vagin, déguste moi à la source".
Après dix minutes intenses, Heidi fit glisser ses doigts sur son clitoris et, moins de trente secondes après, s'abandonna à un orgasme fort attendu. Le prince continuait à lécher le sexe et fut gratifié d'un semblant d'éjaculation féminine qu'il s'empressa de laper sur ses lèvres.
Heidi se redressa et, quittant le fauteuil gynécologique en silence, se mit à genoux devant le prince. Soulevant les pans de sa djellaba, elle dévoila une impressionnante érection. Le pauvre jeune homme était surexcité depuis le début de la séance et il n'aurait pas fallait pas grand chose pour le faire exploser sur le champ.
La préceptrice se pencha et approcha sa bouche ouverte du membre turgescent. Plongeant son regard plein de vice dans les yeux du prince, elle entama une lente progression le long de sa hampe, avant d'aspirer le gland en le noyant de salive. C'en fut trop pour le jeune homme qui explosa dans sa bouche chaude, ressentant un orgasme puissant décuplé par le regard brillant de perversité d'Heidi
Le sperme - très fluide - gicla abondamment et avec f o r c e dans sa bouche. Elle lapa la dernière goutte d'un coup de langue, tout en veillant à ne pas déglutir. Heidi se redressa, s'assit sur sa croupe volumineuse et attira le jeune prince contre elle. Elle le serra dans ses bras contre sa poitrine encore couverte et pris sa tête entre ses mains, colla sa bouche à celle du prince et lui restitua dans une longue embrassade l'intégralité de son éjaculation.
Choqué, le prince sentit sa bouche se remplir d'un liquide gluant et au goût fort, poussé par la langue de sa partenaire. Elle ne lui laissa aucune alternative que d'avaler le mélange de sa salive avec sa semence. F o r c é de céder, il se résolu à déglutir. Le goût était affreux et le prince n'était plus excité du tout car il venait précisément de jouir.
Heidi lui intima de garder le silence sur ce qui venait de se passer et lui promit de nouvelles découvertes, à la condition qu'il observe une courte mais éprouvante abstinence masturbatoire totale pendant 48 heures.
La séance s'arrêta là pour la journée et le prince quitta le cabinet médical sans demander son reste, le cœur battant et la bouche encore pleine du goût inédit de sa semence.
Les trois jours suivants furent éprouvants pour le prince. Alléché par la promesse de la Suissesse, il s'était retenu de se branler depuis sa première fellation. Pourtant, son souvenir et plus encore celui d'avoir du avaler son propre sperme électrisait son bas-ventre et il en résultait une érection quasi-permanente et une douleur diffuse dans ses testicules.
Heidi état pareille à elle-même durant les leçons du matin et ne montrait aucune ambiguïté à l'égard de son élève. Elle évita soigneusement tout contact physique avec lui.
Le troisième jour, elle le conduisit à nouveau dans le cabinet médical. Sous prétexte de poursuivre la leçon d'anatomie, elle entraîna à nouveau son jeune élève dans le cabinet médical. Tout deux avaient les joues rouges et le souffle rapide. Heidi lui indiqua qu'elle devait se déshabiller totalement afin que la leçon du jour soit complète et qu'il devait faire de même.
Très vite, il fut nu comme un ver alors qu'Heidi pris le temps d'un effeuillage lascif, décidant au final de ne garder que ses bas fumés. La vue de la plantureuse silhouette d'Heidi le laissait sans voix. Ses seins étaient énormes, d'autant plus qu'elle les faisait tendre vers lui en croisant ses larges bras sous sa poitrine. Cela ne suffisait pas à cacher le ventre rond et volumineux dans lequel s'enfonçait son nombril. Les cuisses solides et charnues dessinaient un mont de vénus proéminent, une véritable motte aussi lisse que la peau de ses seins.
Heidi s'approcha de lui pour lui dire : "Aujourd'hui, nous laissons la théorie de côté et allons uniquement pratiquer. Je vais te montrer comment faire l'amour à une femme, comment la combler et lui donner du plaisir, sans négliger le tien pour autant. Lui intimant de commencer par un cunnilingus, elle le laissa rapidement se redresser et la pénétrer.
Serrant dans ses bras sa large taille, il jouit au plus profond de son vagin dans une éjaculation puissante. Heidi sentit simultanément les pulsations de sa verge au fond de son ventre et les jets chauds de son sperme tandis qu'il s'abandonnait à l'orgasme et reposa sa tête sur la volumineuse poitrine.
Le laissant reprendre ses esprits, Heidi lui prit la tête dans les mains, le gratifia d'un profond baiser et, tout en le repoussant légèrement mais avec fermeté, lui indiqua "Félicitation, te voilà un homme. Maintenant, tu vas te remettre à genoux et lécher soigneusement ma chatte, je veux que tu nettoies toutes les cochonneries que tu viens de faire, allez, au travail, ne traîne pas, ce sera pire une fois ton sperme froid."
Le prince recula avec une mine contrainte et dégoûtée. Dans un accès d'orgueil, il déclara tout de go qu'il était hors de question qu'il se soumette à une femme, étrangère de surcroît. Il allait regretter rapidement cette erreur de jugement.
Quittant avec grâce le fauteuil, Heidi posa sa main gauche sur l'épaule du prince tandis que de l'autre, elle injecta avec rapidité un incapacitant musculaire à effet immédiat. Elle cueilli le jeune homme dans ses bras alors qu'il s'effondrait et l'installa sur la table médicale. Elle serra les fixations aux poignets et chevilles pour éviter toute chute et redressa le dossier tout en tournant la table face au fauteuil gynécologique afin qu'il ne rate rien de ce qui allait suivre.
Assise sur le tabouret et nue à l'exception de ses bas, Heidi brancha le tire-lait qu'elle mit en marche après avoir posé les coupoles sur ses aréoles. Le flot de lait maternel coulait à jet continu et, décidant que le nourrisson boirait ce soir un biberon de la réserve, elle laissa la machine vider la totalité de ses seins, ce qui prit dix bonnes minutes. Elle eut soin de garder ses cuisses bien serrées pendant la durée de l'opération.
Heidi s'installa à nouveau sur le fauteuil gynécologique. Le regard du prince était incrédule et seule sa paralysie temporaire lui évitait une forte érection. Son jeune esprit était bien incapable d'imaginer la perversion de celle qui allait amèrement lui faire regretter ses paroles.
Les jambes écartées, la Suissesse injecta à l'aide d'une poire à lavement son propre lait dans son vagin et recueillit soigneusement dans un bassin en métal le mélange qui s'en écoula, mixture peu ragoûtante de lait maternel aux forts relents de femme en chaleur et dans lequel nageaient de longs filaments de sperme.
Heidi vida la totalité du liquide dans un récipient en verre gradué, constatant au passage qu'elle disposait au total d'un peu plus d'un demi-litre tiède et odorant qu'elle transféra dans une poche à lavement neuve.
Elle contourna le prince et lui enfila dans la bouche un bâillon en forme de boule, transpercée de cinq trous tous connectés à un tube unique. Le prince ne put qu'émettre de faibles gémissements pendant qu'elle mit la poche dans un bain-marie afin qu'elle reste à la température précise de 37 degrés.
Heidi patienta le temps que l'effet de l'incapacitant se dissipe et que le prince retrouve sa mobilité. Lorsqu'il rua avec f o r c e dans ses entraves, sans toutefois se libérer, elle sut que le moment était venu. Heidi connecta le tube à un entonnoir, lequel était équipé d'un petit robinet. Elle s'approcha de l'oreille du prince et lui chuchota : "tu joues au macho mais en fait, tu n'es qu'un gamin à peine sevré. Je dois te punir d'avoir refusé d'avaler ton sperme et je vais en profiter pour introduire de nouvelles règles et te rappeler ta condition.
Pour nourrir ton frère, j'ai pris des hormones qui me permettent d'allaiter même si je n'ai pas d'e n f a n t . Tu as vu que j'ai encore pris du poids et que mes seins ont aussi terriblement gonflé depuis. Pire encore, je dois m'y prendre quotidiennement pour me traire. Je n'ai pas de choix car le traitement me fait produire beaucoup plus de lait maternel que nécessaire. Donc, à compter de demain, tu vas téter toi-même le surplus et je suis certain que tu prendras vite goût à mes seins et au lait chaud. Mais en attendant, je te laisse déguster un cocktail maison. Crois-moi, après avoir avalé ça, tu trouveras que le lait bu à la source est un véritable nectar !"
Joignant le geste à la parole, elle ouvrit le robinet et laissa s'écouler le curieux mélange dans la bouche du jeune homme. Le flot noya son palais et il n'eut d'autre alternative que de déglutir et d'avaler l'atroce mixture tiède. Le goût était aigre et n'aurait pas été totalement désagréable si celui du sperme ne dominait pas les fragrances intimes délicieusement féminines de la rousse. Lui accordant une pause pour reprendre sa respiration, Heidi veilla à ce qu'il finisse jusqu'à la dernière goutte. Jamais de toute sa vie il ne s'était senti si humilié.
"Autre chose, désormais je dois avoir un contrôle total sur tes orgasmes, il est hors de question que tu te masturbes à tout bout de champ, à partir de maintenant, c'est moi qui décide quand et comment tu jouis. Pour en être sûre, je vais te mettre cette cage de chasteté, sois heureux que ce soit une modèle en plastique lisse et sans pointes !" Heidi fit balancer au bout de son doigt l'objet dont l'apparence était bien inoffensive avant de constater que le sexe du garçon était à nouveau raide, conséquence de son ingurgitation récente et de la vue de ses gros seins.
Comme il était impossible dans ces conditions de lui enfiler la cage, Heidi était partagée entre l'envie de lui tailler une pipe, de le chevaucher ou bien de trouver un autre moyen permettant d'éviter une nouvelle jouissance pas vraiment méritée. C'est cette dernière option qu'elle choisit en versant un petit gobelet d'éther sur la verge tendue qui dégonfla en quelques instants. Empoignant le sexe du prince, la rousse enfila prestement la cage sur la verge et verrouilla cette dernière à l'aide d'un cadenas en plastique numéroté à usage unique.
Voilà, j'espère que tu ne rêveras pas trop de moi cette nuit car la cage se rappellera alors à ton bon souvenir mais tu peux bien entendu pisser et te laver sans problème. En revanche, ne t'avise pas de briser le cadenas, il n'est pas si solide que cela mais c'est le but, je te fais confiance, ne me trahis pas car ma vengeance serait terrible !
Le cœur du prince cognait dans sa poitrine, cette Européenne était diabolique ! Alors qu'Heidi défit ses entraves, il ramassa ses vêtements qu'il enfila le plus vite possible avant de filer dans ses appartements. Il avait toujours en bouche le goût du lait aromatisé dont il avait du avaler la totalité lors de cette éprouvante expérience.
Couché sur son lit, il ne pouvait oublier ce qu'il venait de vivre, ces émotions provoquant un début d'érection aussitôt contrarié par la cage. Il sentait son gland gonfler et se dégonfler au contact du plastique, une sensation immensément frustrante.
Le lendemain, la leçon se passa de façon tout à fait normale et Heidi ne laissa rien paraître. Tout juste avant la fin, elle souleva innocemment un pan de la djellaba et empoigna le sexe encagé du prince pour vérifier l'intégrité du cadenas. Sans dire un mot, elle retira sa main et referma le vêtement. Ensuite, elle ouvrit avec une lenteur toute calculée les boutons de sa chemise, dégrafa son soutien-gorge et invita d'un regard le prince à se rapprocher et à sucer ses tétons. Il approcha sa bouche et à peine eut-il enserré l'aréole avec ses lèvres que le lait chaud giclait sur sa langue. Il poursuivit avec ardeur jusqu'à ce que le premier sein soit vide et qu'il puisse passer au second.
Comme il était naturellement moins efficace que le tire-lait, l'opération prenait une bonne vingtaine de minutes, au grand délice d'Heidi qui avait mis une protection hygiénique dans son slip en anticipation de la mouille abondante qu'elle n'allait pas manquer de secréter. Le goût du lait était fade et fort à la foi mais lors de ces sessions particulières, c'est plus la cage de chasteté qui mobilisait toute l'attention du jeune homme. Toucher, sucer et boire les magnifiques et énormes seins de sa préceptrice mais ne pouvoir bander à son aise était une véritable t o r t u r e . Il sentait son gland s'engorger contre la cage en plastique et pousser avec f o r c e , sans lui laisser la moindre occasion de satisfaire son envie de jouir.
Une fois satisfaite de la tétée et sentant ses seins moins lourds, Heidi se rhabilla avant d'extraire de sa culotte en coton le protège-slip détrempé d'une glaire épaisse et odorante. Elle le tendit sans un mot à la bouche du prince qui s'empressa de le lécher, dégustant la forte odeur intime de la rousse qui ne fit qu'aggraver sa frustration.
Elle mit ensuite le protège slip trempé dans un sachet en plastique qu'elle zippa et conserva avec soin.
Ce petit manège d'allaitement et de collecte des protections gorgées de mouille se répéta cinq jours, une éternité pour le prince qui était à l'agonie mais il n'osait rien dire. La Suissesse sentait bien le sexe pulser dans sa main lorsqu'elle jaugeait de la frustration croissante du jeune homme. Le sixième jour, jugeant qu'il ne tiendrait bientôt plus, elle abrégea le cours au profit de travaux pratiques.
Ceux-ci consistaient essentiellement à lui administrer un très long cunnilingus après que le prince eut soigneusement tété ses seins et qu'elle se soit déshabillée. Elle lui dit sa satisfaction de voir que le cadenas était intact et attendait maintenant de lui qu'il la fasse jouir uniquement avec sa langue. Il sera alors remercié par un orgasme qu'elle lui procurerait personnellement, à la condition sine qua none (sans quoi non) qu'il avale le résultat de son éjaculation sur le champ. Trop excité pour négocier cette dernière clause et aveuglé par la perspective de pouvoir enfin vider ses couilles le prince s'empressa d'accepter.
Il se glissa immédiatement entre ses cuisses ouvertes par le fauteuil et se mit à lécher avidement la chatte ruisselante de la rousse. D'avoir eu ses seins palpés et dévorés durant les vingt dernières minutes avait produit un véritable lac dans sa culotte à tel point que l'odeur de femme en chaleur flottait lourdement dans le vaste cabinet.
Se retenant exprès de jouir, Heidi pu tenir trente minutes pendant lesquelles le prince ne ménagea pas ses efforts. Elle ne voulait pas se donner trop vite mais devait admettre que la cage de chasteté avait provoqué chez son élève un très spectaculaire accroissement de son talent de lécheur ! Lorsqu'il frôla par surprise l'anus trempé de mouille ce fut comme une décharge électrique et Heidi s'abandonna à sa jouissance dans un véritablement feulement tandis que son corps était tendu comme un arc.
Enfin pensa-t-il, voici venu mon tour, je n'en peux plus. Se remettant de son orgasme, Heidi songea à sa promesse. Elle demanda au prince de se mettre nu, ce qu'il fut moins de dix secondes plus tard. Elle le fit se pencher sur la table, ce qui généra chez lui une vague inquiétude, il ne voyait pas trop comment elle allait pouvoir lui enlever la cage dans cette position. Tout à ses réflexions, il ne fit pas attention aux bandeaux de contrainte qui encerclait ses poignets. Heidi le contourna et attache de la même façon ses chevilles aux pieds de la table. Il était désormais totalement à sa merci, les fesses exposées dans toute leur nudité et le sexe pendant dans sa cage. La situation l'excitait prodigieusement, ce que la rousse ne pouvait rater car un long filament de liquide séminal s'étirait de son gland à ses genoux, se balançant au gré de ses tremblements au fur et à mesure qu'il anticipait son orgasme. Elle le cueilli de deux doigts joints qu'elle mis lascivement en bouche. Le rythme cardiaque du prince accéléra encore un peu à la vue de cette coquine dégustation.
"Hum, pas mal, j'ai comme l'impression que tu vas exploser dans ta cage, pauvre petit, je vais m'occuper de toi. Mais avant toutes choses, je dois m'assurer que tu seras propre pour ce qui va suivre. Le prince protesta qu'il s'était douché avant le cours et que cela était inutile.
Mais non, béta, je ne parle pas de prendre une douche mais de te nettoyer à l'intérieur. Le prince, qui n'avait jamais imaginé l'idée même d'un lavement, en fut quitte pour une rapide injection d'un demi-litre d'eau chaude glycérinée, juste assez pour remplir son ampoule rectale avant d'envahir le gros intestin. Une couche lui fit prestement enfilée par la Suissesse afin de parer à toute éclaboussure. Le prince était à présent furieux et se débattait dans ses entraves. Il n'avait pas joui, se retrouvait en couche comme un bébé et par dessus le marché il se sentait ballonné comme jamais. Heidi se positionna face à lui en lui disant de ne pas lutter mais de se vider dans la couche qui était faite pour ça. "Tu n'as pas besoin d'avoir honte, il m'arrive aussi d'en porter, tu n'as pas encore idée à quel point c'est agréable de s'y laisser aller." Pendant qu'il méditait ces paroles troublantes, une crampe plus forte que les autres lui fit lâcher prise et il entendit autant qu'il sentait par son alourdissement soudain sa couche se remplir à gros bouillons.
Une fois les crampes terminées, Heidi enfila une paire de gants en latex puis lui ôta la couche et procéda à une très soigneuse toilette, insistant bien sur son anus, ce qui eut bien entendu comme seul effet de faire à nouveau enfler son sexe dans les limites permises par la cage de chasteté. Une fois propre, elle pulvérisa une épaisse mousse dépilatoire qu'elle laissa agir quelques minutes avant de rincer les poils noirs du pubis de sa jeune victime. Puis, la Suissesse enfila un large et long préservatif féminin sur toute la cage et inonda l'anus du jeune homme d'un lubrifiant particulièrement persistant. Tout en jouant d'un doigt sur le sphincter, elle caressait de l'autre les testicules lourds et gonflés. Au bout d'un moment, son doigt ganté de latex pénétra pour la première fois dans le rectum du prince qui poussa un soupir tout en s'abandonnant à cette nouvelle sensation. Poussant son index, elle localisa sans peine la prostate toute enflée et entama sans attendre un massage de cette dernière. Le prince gémit et très vite elle pu en voir le résultat sous forme de coulées de sperme qui remplissaient progressivement le bout du préservatif d'une petite flaque blanchâtre. Satisfaite, elle retira le doigt du fondement de l'héritier et se débarrassa des gants souillés. Le prince venait littéralement d'être trait par cet inédit massage prostatique, il en ressentait un soulagement très limité et avait toujours envie d'un véritable orgasme.
Heidi détacha délicatement le réservoir improvisé de la cage et en versa soigneusement le contenu sur ses seins, puis, sans dire un mot de plus, les offrit à la langue avide du prince qui, fou d'excitation, dévora sur le champ sa propre semence. Une fois ses seins vierges de toute trace de sperme ou de salive, Heidi se saisit d'un vibrateur qu'elle appliqua sur le périnée et sous les testicules du jeune homme tandis qu'elle lui pistonnait le cul d'un petit butt-plug préalablement lubrifié. La sensation était déroutante pour le prince mais son absence totale d'orgasme des derniers jours eu raison de ses réticences et il jouit finalement d'un orgasme sans éjaculation et plutôt faiblard compte-tenu de ses attentes. Il n'en revenait pas que la rousse puisse le faire jouir sans toucher une seule fois son sexe. Elle avait tenu parole mais il était tout de même déçu de ne pas avoir pu glisser sa queue dans la chatte trempée qu'il avait précédemment dégustée ou d'avoir été pris en bouche.
Flottant dans les limbes post-orgasmiques, de retour dans sa chambre, les paroles de la rousse lui revinrent en tête. Après un temps d'hésitation, il se rendit chez elle et frappa à sa porte. Peu surprise, elle le laissa entrer. Il avait perdu toute assurance et observait à la dérobée la silhouette ronde de la Suissesse dont il était surpris de l'accroissement soudain du tour de taille qu'on devinait sous son pyjama. Elle s'approcha de lui et tira le devant de son pantalon en satin pour qu'il puisse admirer la couche très épaisse que recouvrait une culotte en plastique rose bordée d'un galon de dentelle et de froufrou. "Elle te plait ? Je t'avais dit que j'appréciais les couches, tu verras, c'est encore meilleur quand elles sont enrobées dans une culotte en plastique. Viens, je vais t'en mettre une puisque c'est pour cela que tu es venu.
Le poussant d'une main, Heidi le fit se déshabiller et l'allongea sur le dos sur le large lit. En anticipation de ce moment, elle avait procédé à la commande de changes complets auprès du manufacturier danois qui avait déjà fourni ceux qu'elle portait elle-même. D'une impressionnante épaisseur dépassant toutes les normes du marché, l'intérieur était garni d'une ouate satinée absolument délicieuse au toucher, plus encore sur une intimité fraîchement épilée. La capacité d'absorption était phénoménale et culminait à huit litres, masse à laquelle les solides attaches scratch avaient tendance à fatiguer. De toute façon, les culottes plastiques, en PVC bouffant ou latex plaqué au corps, était systématiques pour garantir une parfaite étanchéité.
« Mais attention, tu es dans mes appartements et j'ai toute latitude en ces lieu pour faire ce qu'il me plait. Je te propose un petit jeu ». Ouvrant un réfrigérateur, elle en sortit deux suppositoires géants enveloppés dans un fin film en plastique puis alla chercher du thé à la menthe.
« On va jouer à une petite compétition amusante. Tu vois ces grands suppos ? Ils sont moulés dans un préservatif à partir de cinquante suppositoires à la glycérine, leur introduction est un supplice ou un délice selon qu'on a préparé ou pas l'anus du patient avec un décontractant musculaire. Ils sont enduits d'un film protecteur dont la propriété est de se dissoudre au contact de la chaleur une heure après avoir été introduit. Je vais te transformer en bombe à retardement et tu vas faire de même dans mon fondement. Nous allons ensuite boire à grandes gorgées du thé, ce qui fera naturellement enfler nos vessies.
C'est là que ça deviendra drôle et qu'il faut faire preuve de stratégie. Le premier à expulser le suppo dans sa couche aura perdu. Les récompenses seront différentes pour toi et moi. Si tu cèdes le premier, tu resteras en cage de chasteté dix jours d'affilée. Si je perds, je te retire la cage sur le champ et ce pendant dix jours. Tu pourras me baiser chaque jour, à condition dans tous les cas de continuer à boire le lait de mes seins et ton sperme, naturellement.
Pour corser l'épreuve, j'ajoute un bonus. Fais-moi confiance, le gagnant se soulagera très vite dans sa couche après que le premier d'entre-nous aura cédé. Dix minutes après, nous allons retirer nos couches et les peser, suppositoire compris. Si tu as la plus lourde couche, tu gagneras des jours supplémentaires d'orgasme, chaque tranche de dix grammes équivalent à un jour. A l'inverse, tu garderas la cage selon le même principe si tu perds. Je te préviens, le suppo est redoutable d'efficacité une fois le film fondu et personne ne peut y résister.
Tu es partant ? Très bien, laisse-moi le temps de me déshabiller et de prendre une douche. » Une fois revenue drapée dans une large serviette de bain, Heidi étala sur le large lit deux changes danois ainsi que deux culottes en latex, le contraste entre la taille XXXL des siennes et celle en M destinée au prince était saisissant. Elle pesa les couches à vide pour tenir compte du poids plus élevé lié à sa grande taille. Lui tendant un tube de crème, elle se mit nue à genoux sur le bord du lit et le pria de lubrifier son anus avec ce décontractant. Tête-bêche sur le lit, s'appliquant à badigeonner l'anneau sombre et palpitant, il fit coulisser un puis deux doigts dans l'anus serré tandis que la Suissesse lui faisait simultanément subir le même traitement par souci d'équité, il n'était pas question qu'elle lui laisse l'avantage d'un sphincter dilaté prématurément.
Après cinq minutes de pause pendant lesquelles ils burent abondamment, il était temps de commencer les choses sérieuses. Tenant chacun d'une main ferme le suppositoire géant, ils procédèrent à son insertion, une procédure rapide vu les effets de la crème. Même la section la plus volumineuse fut avalée sans difficulté. Mais ce qui était à ce moment un confort allait devenir un souci car leurs anus décontractés devraient bientôt faire face aux vagues engendrées par la glycérine...
Heidi s'équipa elle-même d'une couche ainsi que d'une culotte latex qui la plaqua aux cuisses et sous son ventre volumineux. Le prince était couché sur le dos et écoutait les instructions de la rousse :
"Lève les fesses, voilà, je vais fixer les attaches, heureusement que ta cage n'est pas trop grande. Tu vas enfiler par dessus cette culotte en latex, elle va aider à la fois à tenir la couche mais aussi à éviter toute fuite."
Le prince sentait le suppositoire dans son rectum, ce n'était pas désagréable du tout. Il porta à nouveau le verre de thé à ses lèvres et se resservit généreusement, imité en cela par Heidi. La jeune femme avait le handicap de s'être déjà laissée aller dans sa couche précédente mais elle entendait bien gagner le concours. Après s'être défiés du regard pendant une petite heure durant laquelle ils n'avaient cessé de boire, un voile passa dans les yeux de Heidi quand le suppo fondu fut dégagé de son étui de plastique en répandant dans ses intestins de la glycérine liquide tiède. Elle sentit immédiatement les vagues de contractions commencer à faire effet dans son ventre. Avec de gros efforts, elle arriva à faire en sorte que les spasmes contractent plutôt sa vessie dont sortaient ainsi quelques jets supplémentaires.
Les gesticulations de son large derrière n'avaient pas échappé au prince, il se demandait combien pèserait sa couche quand il fut comme piqué par un poinçon à l'estomac. Il sentit à son tour ses tripes se liquéfier et se joint au concert de gémissements de la rousse.
Bien vite, il sut qu'il ne pourrait se retenir, la volonté ne lui faisait pas défaut mais son corps allait le trahir. Il serra les fesses du mieux qu'il put mais une rafale de flatulence annonça sa reddition proche. Rien ne pouvait plus enrayer la sortie du suppositoire dans le bruit affreux d'une cataracte douteuse. Le prince poussa un râle libérateur et se mis à quatre pattes pour mieux laisser les crampes induites par la glycérine lui purger les boyaux. A chaque attaque, il sentait un petit jet de pisse couler de son sexe et ne pouvait rien n'y faire. Heidi s'était laisser aller dans sa couche à sa suite très rapidement, elle sentit le suppositoire géant glisser d'une poussée en dehors de son intimité tandis qu'elle n'avait d'autre choix que de se soumettre à la forte diarrhée qui se répandait dans sa couche.
Le prince était effondré, non seulement il avait perdu ce petit jeu et tout espoir de baiser ce soir sa préceptrice mais il allait désormais risquer de prolonger dans des durées inconnues sa terrible frustration.
Heidi l'emmena dans la salle de bains où elle retira avec soin sa couche avant de procéder avec la sienne. L'odeur était pestilentielle et on voyait très bien au fond de chaque couche le gros résidu de glycérine qui n'avait pas fondu. Heidi mis la couche du prince sur la balance médicale. "4kg et 240 grammes, voyons la mienne, 4 kg et 710 grammes une fois déduit le surpoids, cela te fera 47 jours d'abstinence". Le prince paniqua à l'idée qu'il allait devoir subir la cage tout ce temps, une durée inimaginable pour lui.
Les journées suivantes s'écoulèrent au rythme des leçons mais aussi des tétées. Heidi proposa au prince contre une réduction de sept jours d'abstinence de dormir avec un oreiller qu'elle avait soigneusement bourré des serviettes hygiéniques utilisées quand le prince lui vidait les seins. Elle veillait à changer quotidiennement le contenu de l'oreiller en y plaçant toujours la dernière serviette pour s'assurer que l'odeur de mouille et les phéromones rendaient l'abstinence du prince encore plus pénible.
Pour s'assurer qu'il tiendrait le coup, Heidi lui proposa à partir du dixième jour de lui donner une injection d'un décontractant musculaire. Le prince aurait tout accepté pour ne plus ressentir les élancements dans son bas-ventre. La rousse lui expliqua qu'un des risques associés à ce produit était une incontinence passagère, conséquence du relâchement des sphincters, qui rendait incontournable les couches. Vaguement échaudé par sa précédente expérience, le prince accepta avec un enthousiasme modéré la proposition. Une fois l'injection faite, Heidi veilla à équiper le prince d'une couche d'épaisseur moyenne car elle devait être portée la journée. Une culotte en plastique blanc compléta le change pour assurer son maintien et l'absence de fuites.
Seule la démarche légèrement chaloupée du jeune homme laissait deviner son sous-vêtement d'un genre inédit. Il se laissa aller à quelques jets de pipi et constata à sa grande surprise qu'il ne pouvait se retenir une fois que sa miction avait commencé, Heidi avait dit vrai ! Sept jours de couches plus tard, il se rendit dans sa chambre peu de temps avant de se coucher pour lui demander de le changer. Étrangement, elle n'avait pas dégrafé son chemisier pour la tétée aujourd'hui, le laissant presque plus déçu que soulagé par l'absence de ce moment intime auquel il avait pris goût. La rouquine l'accueilli avec un grand sourire avant de le pousser sur le lit. Elle l'enjamba et chevaucha son bas-ventre, créant une forte pression tant par l'excitation qu'il ressentait que par le poids imposant de sa préceptrice.
Le libérant provisoirement, Heidi lui proposa un marché. Elle redoutait en effet que ses couilles gonflées ne l'incitent bientôt à briser la cage. Elle ne disposait pas de moyens de contrainte et craignait que cela soit néfaste pour son autorité s'il s'avérait que le prince puisse se libérer lui-même et sans conséquence de ses entraves. Le deal était le suivant : elle allait lui insérer une canule à double-ballons dans les fesses, à travers laquelle elle allait connecter un réservoir de quatre litres de lait chaud mélangé à de la mélasse. Il s'agissait d'un mélange qui lui procurerait à coup sûr des crampes dans les tripes, ce qui rendait la canule spéciale indispensable pour éviter une expulsion prématurée. Le prince aurait le contrôle du flux grâce à un petit robinet et tout deux pourrait suivre la progression de la quantité injectée sur le débitmètre intégré. Bien entendu, il serait en couche car des fuites légères étaient possibles, sans parler de la nécessaire étape de dégonflage des ballons qui s'accompagnera d'une véritable explosion. Heidi avait pratiqué ce petit jeu avec Alex, découvrant presque par hasard les effets explosifs que provoquait le lait sucré injecté dans les intestins.
Après le premier litre, chaque décilitre représenterait un jour d'abstinence en moins sur les vingt sept qui restaient. En clair, il lui faudrait avaler près de quatre litres pour s'en sortir, une quantité phénoménale qu'Heidi doutait qu'il puisse encaisser. Après s'être déshabillé, le prince s'abandonna aux mains expertes d'Heidi qui enfila à nouveau sur sa cage le curieux préservatif féminin puis lubrifia abondamment son anus avant d'y insérer le plus grand des deux ballons, jusqu'à ce que ce dernier soit totalement avalé par le fondement du jeune homme. Après avoir branché le réservoir et purgé l'air - il aurait bien assez de crampes à cause du lait - elle lui enfila avec soin une grosse couche qu'elle enveloppa dans une culotte en PVC rose décorée de jolis froufrous tout ce qu'il y avait de plus féminin.
En prévision des crampes, elle lui fit mettre un pyjama en pilou, rose également. Tout à sa honte, le prince ne remarqua même pas que tout était parfaitement à sa taille mais n'aurait jamais pu habiller la pulpeuse Suissesse. S'emparant des poires en caoutchouc, Heidi gonfla de dix franches pressées le ballon intérieur, provoquant naturellement les gémissements de sa victime consentante. Le rectum se contracta pour expulser l'intrus, ce qui était rigoureusement impossible vu l'imposant volume de 750 ml qui emplissait son ampoule anale. Le second ballon fut gonflé, scellant ainsi l'anus du jeune homme.
Le prince se coucha sur le dos, robinet en main, quand Heidi ouvrit la vanne principale du réservoir. Le premier demi-litre s'écoula en lui dans une sensation étrange mais pas désagréable. Puis le flot réduit en intensité au fur et à mesure que son gros intestin se remplissait. La pression se fit plus forte mais il tenu bon et en fut récompensé par un débit à nouveau plus rapide alors que le lait chaud s'engouffrait plus haut dans ses boyaux. Le répit fut de courte durée car à un litre et demi, les crampes commencèrent à se faire sentir. Coupant le robinet un instant, il ressenti le liquide qui ballottait son ventre avant de faire preuve de volonté et de continuer. Passé deux litres - déjà dix jours en moins ! - la pression se fit croissante mais il tenait bon. Voyant sa peine, Heidi s'approcha de lui en ouvrant son haut de pyjama pour lui tendre son sein qu'il suça goulûment. Cette diversion intervenait à temps pour permettre à 40 cl de plus de s'écouler dans ses intestins. Coupant le robinet, le prince sentait son ventre parcouru de crampes qui le firent gesticuler sur le lit, perdant presque le sein volumineux d'Heidi. Il interrompit sa dégustation pour lui dire qu'il ne pouvait plus rien encaisser de plus et souhaiter se soulager.
Se levant, Heidi débrancha le réservoir puis, encouragée par les halètements du prince, dévissa simultanément les purges des deux poires, dégonflant ainsi les ballons. Le soulagement fut immense et le prince fut submergé par un sentiment de bien-être si puissant qu'il ne réalisa pas qu'une éjaculation remplissait la capote recouvrant la cage à chaudes coulées de sperme.
Heidi glissa une main sous le pyjama et la culotte PVC pour récupérer le précieux liquide visqueux. Elle fit osciller le préservatif plein d'un remarquable quantité de laitance blanche devant le regard du prince qui savait ce qui lui restait à faire...Retroussant avec soin la capote, la Suissesse veilla à ce que la totalité du sperme s'écoule en longues larmes tièdes directement dans la bouche ouverte du prince. Il déglutit sa propre semence épaisse, laquelle en plus de son goût prononcé avait tendance à s'accrocher à ses amygdales, un sentiment dégoûtant amplifié par la quantité importante de sperme liée à sa longue abstinence.
Lorsque dix jours plus tard la période de ceinture s'acheva enfin, Heidi entraîna le prince dans sa chambre, ils se mirent nus à toute vitesse avant qu'Heidi ne coupe enfin le cadenas en plastique et ne retire la cage, dévoilant sur le champ une érection triomphante. Il n'était plus question de préliminaires quand il glissa son sexe dur dans la chaude intimité de son amante. Après à peine dix secondes, il se répandit en longues saccades dans le ventre rebondi de la rousse, avant de poser sa joue sur la volumineuse poitrine. Heidi caressa ses cheveux d'un geste maternel pendant quelques minutes avant de pousser tendrement mais avec fermeté sa tête entre ses cuisses. Elle sentait en effet le sperme qui commençait à couler de sa chatte et il n'était pas question que le prince perde ses bonnes habitudes...
A sa grande déception, le prince allait ensuite passer plusieurs mois en Grande-Bretagne chez un cousin de l'Emir pour y améliorer son anglais. En réalité Heidi l'avait suggérer pour éviter que le jeune homme ne s'attache trop à elle.
Une fois le prince parti, Heidi se retrouva fort désœuvrée et pensa souvent à son ancienne vie en Suisse. Alex lui manquait, surtout le souvenir de leurs jeux cochons mais il n'avait pas été très courageux à son égard et elle n'attendait plus rien de lui. Elle ne pardonnerait en revanche jamais à Séverine et Hélène d'avoir ruiné sa carrière et son couple.
Elle s'en ouvrit à Mihaela un jour de mélancolie en expliquant à quel point elle ressentait de la colère à l'égard de ces deux femmes puis oublia rapidement qu'elle avait évoqué ce sujet. La Roumaine rapporta ses paroles à l'émir, lequel considéra attentivement ceci comme un moyen de récompenser son employée autrement que par l'argent dont elle ne semblait avoir que faire.
Mihaela élabora rapidement un plan pour procurer à Heidi une vengeance approprié à la hauteur de ce qu'elle avait perdu. Son imagination était sans limite et les manips médicales peu orthodoxes pratiquées avec ses professeurs roumains lui revenaient en mémoire.
Elle se souvenait en particulier d'un v i o l e u r qui s'était attaqué à plusieurs reprises à des jeunes filles qu'il avait ensuite t o r t u r é e s et assassinées. Capturé par la Securitate, il n'avait exprimé aucun remords et se montrait fort arrogant. Totalement sain d'esprit, intelligent et manipulateur, il comptait s'en tirer grâce à ses liens avec la nomenklatura. Malheureusement pour lui, son mentor venait d'être victime d'une faction adverse et avait perdu tout pouvoir. Son rival haïssait l'idée même d'a b u s sexuel et souhaitait une punition exemplaire pour ce criminel. Plutôt que de le laisser à la police, il confia cette mission à l'équipe du professeur dont Mihaela était interne.
Mihaela se rappela avec précision le compte-rendu oral et illustré de polaroid qu'elle fit au commanditaire de ce châtiment à la hauteur des crimes qui auraient sinon pu rester impunis.
"Le lendemain matin, le prisonnier se retrouva dans le bloc, allongé sous anesthésie générale sur la table d'opération. J'ai procédé à l'ablation totale de son pénis, de sa prostate et de son scrotum ainsi que de ses testicules. Pour accroître son supplice, j'ai repositionné les deux testicules à l'intérieur de son bas-ventre avant de refermer son périnée désormais totalement lisse. Son urètre fut redirigé vers l'ampoule anale de façon à ce que son urine s'écoule en un lavement permanent avec sa propre urine. Le v i o l e u r était destiné à la pire prison du pays où il serait sans nul doute à son tour a b u s é par ses codétenus, surtout quand ces derniers apprendraient le motif de son incarcération et sa nullification. J'ai proposé au professeur de lui implanter deux grosses prothèses mammaires en silicone pour en faire une créature à la silhouette féminine, portant un bonnet C bien rempli. Ma supérieure approuva vivement, j'ai donc procédé ainsi."
Mihaela se garda de préciser que sa chef, en bonne sadique, avait alors certainement la culotte aussi mouillée qu'elle pendant l'opération et qu'elles firent à tour de rôle une longue pause moins pour soulager leur vessie que leur clitoris.
"Pour faire bonne mesure, je procéda à l'arrachage de toutes ses dents, transformant le v i o l e u r en future bouche à bite incapable de mordre. Ses testicules allaient continuer à injecter dans son corps la testostérone qui ferait monter un désir impossible à satisfaire. En l'absence de prostate, nulle pénétration ou massage anal ne saurait apaiser son envie de jouir qui deviendra vite sa pire t o r t u r e . Bien entendu il serait sans contrôle sur sa vessie, quand à son anus, je ne lui donne pas très longtemps avant que les outrages des autres prisonniers ne lui élargissent au-delà de tout espoir de garder sa continence..."
Le récit terminé, l'homme de pouvoir sourit de ses dents jaunes de tabac brun puis fit signe à Mihaela de s'approcher. Il ouvrit sa braguette puis grogna avec satisfaction alors que la femme médecin pris son membre épais en bouche. Telle était son pays à cette époque sombre. Après avoir arrangé pendant plusieurs jours les détails pratiques, Mihaela soumis son plan à l'émir qui l'accepta sans réserve.
Une semaine plus tard, deux médecins suisses furent détachés de l'hôpital de Zurich pour une expérience scientifique se déroulant dans le Golfe persique sous un prétexte bidon. Les défraiements étaient somptueux et le service des deux femmes médecins avait justement des soucis de liquidités que cette offre viendrait résoudre à merveille.
Le contrat de mission précisait que le lieu de l'expérience n'était équipé que d'un téléphone satellite, les communications avec la famille se faisant normalement par emails. Ce n'était pas un souci car elles étaient toutes deux célibataires de fraîche date et peu causante avec leurs familles qui vivaient à la campagne et qu'elles jugeaient inintéressantes.
Trinquant au champagne dans l'avion, Hélène et Séverine ne se doutaient pas de ce qui les attendait. Après avoir eu les honneurs de l'Emir, elles furent conduites dans de somptueux appartements. Ce sera leur seul passage sous les ors du palais car, aussitôt endormies grâce au somnifère introduit dans leur boisson, elles furent transférées au troisième sous-sol du palais, un endroit interdit à tous sauf à la garde rapprochée.
Mihaela avait décidé de s'attaquer d'abord à Hélène, celle qui était le cerveau derrière le renvoi d'Heidi de l'université. La première période serait destinée à briser toute résistance, en jouant sur deux tableaux : rendre la femme temporairement incontinente pour l'obliger à porter des couches et l'obliger à prendre du poids car sa ligne de sylphide était sa plus profonde fierté.
Après qu'elle fut déshabillée par un des gardes, Mihaela la plaça délicatement sur la table d'opération.
Elle procéda sous anesthésie générale à la greffe d'un minuscule équipement électronique sur le nerf qui commandait les muscles de contention de la vessie. Par la simple pression d'un bouton, l'arrogante allait perdre toute capacité à retenir son urine. Mihaela déciderait désormais pour elle, en dehors de toute volonté propre.
Lorsque la blonde repris connaissance, la Roumaine se pencha sur son visage avec un sourire sadique. "Ma chère Hélène, vous venez de subir une intervention chirurgicale durant laquelle vous avez subi diverses modifications corporelles. Ne vous demandez pas pourquoi, les réponses viendront plus tard, peut-être.
D'abord, j'ai procédé durant ton anesthésie à l'arrachage de toutes tes dents. Te revoilà la bouche vide comme au premier jour ! Alors que la Roumaine lui montra un cliché de sa dentition complète s'étalant bien rangée sur une gaze comme à la faculté, la Suissesse ressentit comme un uppercut dans l'estomac en passant sa langue sur ses gencives comblées avec un soin expert. Elle n'avait plus de dents !!! Des larmes coulèrent sur ses joues rougies. "Tu peux dire adieu à pas mal d'aliments mais en revanche, tu n'auras aucun problème à manger des purées et à boire à la paille les potions hypercaloriques qui te seront servies à volonté.
Car tu es priée de prendre du poids, les maigrelettes de ton genre ne sont pas bien vues ici. Il parait que vous détestez les grosses, j'ai hâte de vous voir avec quarante kilos de plus. Vous avez un peu moins de trois mois pour y arriver et je vous préviens que vos avez plutôt intérêt à vous montrer motivée, j'ai ici tout pouvoir sur vous et votre corps.
Autre chose, j'ai sectionné ton nerf hypogastrique. Tu sais très bien ce que commande ce nerf et que tu es désormais incontinente urinaire, à vie. Ta vessie va se remplir un peu et tes muscles lisses vont s'ouvrir de façon totalement involontaire et incontrôlable, relâchant erratiquement des jets de pisse ou un gros, long pipi. Les couches ou les sondes te seront désormais indispensables mais ne t'inquiète pas, tu porteras ici le top de ce qui se fabrique sur la planète. Je t'ai aussi implanté une capsule hormonale qui stimule particulièrement les glandes de Bartholin, en clair, tu vas mouiller abondamment et sentir en permanence la femme en chaleur.
Tu pleures ? Ah, oui, si tu ne peux pas répondre, c'est parce que j'ai anesthésié tes cordes vocales, cela t'évitera de nous casser les oreilles durant les prochains jours. Nous allons maintenant vous transférer dans votre cellule qui sera votre quotidien des prochaines semaines.
Des aliments liquides et purées très caloriques, complétés de bières, sodas et milk-shakes lui étaient offerts en permanence afin qu'elle grossisse d'un kilogramme par jour le premier mois. Si elle était en dessous de cet objectif, on ne lui offrait que des couches trop grandes de deux tailles, ce qui était la garantie de fuites fort inconfortables. Bien entendu, Hélène avait refusé de s'alimenter le premier jour, ce qui n'eut pour seule conséquence que de susciter une fort désagréable alimentation f o r c é e par intubation ainsi que la privation de tout vêtement ou couche, une situation extrêmement gênante du fait de sa récente incontinence. Depuis, elle avait pris le parti de se montrer obéissante.
Sa cellule était équipée d'une balance précise sur laquelle elle devait monter à une heure fixe. Hélène n'avait presque pas besoin de celle-ci pour suivre sa prise de poids, elle sentait ses hanches s'épaissir, l'espace entre ses cuisses se rétrécir tandis que son ventre n'avait déjà plus rien de plat. L'amorce de ce qui promettait d'être une remarquable culotte de cheval était déjà visible.
Son incontinence aurait certainement été plus pénible sans les antidépresseurs qui lui étaient inoculés chaque jour. Son sort ne lui paraissait plus si terrible et finalement, ce n'était pas si difficile de rester couché à faire du lard devant la télé ou en lisant les magas
Epilogue - sept ans plus tard
Une femme dont les cheveux roux sont réunis en une sage queue de cheval passe, un café à la main, à côté du kiosque à journaux d'un grand hôpital londonien.
Elle profite d'un court répit après une opération avant de retrouver l'amphithéâtre où l'attendent ses étudiants pour son cours d'urologie. Une photo sur la couverture criarde d'un tabloïd attire son attention, elle se saisit du journal dont le papier est d'aussi mauvaise qualité que son contenu. Pas de doute, elle a reconnu le prince, en bien fâcheuse posture sur une image prise par une webcam et titrée « Shocking, un héritier saoudien surpris dans une nurserie pour adultes. »
La femme repose le tabloïd et reprend son chemin, un énigmatique sourire aux lèvres. Dans deux jours, elle va honorer une invitation manuscrite pour un rendez-vous privé dans un palace du cœur de Londres. Tout juste ce qu'il faut pour qu'un certain cocktail hormonal soit au maximum de son effet pour offrir une réconfortante tétée à son grand bébé...
Incroyable récit j'ai adoré ! | |
Excellente histoire en effet, bravo pour son écriture, c'est d'un excellent niveau ! |
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